A la mer qui rugit
Aux cieux peints d’infini
Aux regards qu’on oublie
Aux souvenirs qui fuient
Je leur offre
Le parfum des marées
Le placard des années
Les couche-tôt rêveurs
Les marchands de bonheur
A tous les malheureux
Et tous les amoureux
A ceux qui crient victoire
A en perdre la mémoire
Je leur offre
Des papillons libres
Qui frôlent mes fibres
Et me disent en chantant
Que le charme est trompant
Mes plus beaux lendemains
Et le creux de ma main
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