Elle avait les yeux qui brillent, un sourire enjôleur,
Des mots doux comme le miel, qui effacent les peurs,
Je croyais ses promesses, et ses nuits sans fin,
Mais dans ses caresses y' avait un autre chemin.
Ses absences sans raison, ses silences trop longs,
Elle tissait des mensonges comme on tisse un cocon,
Je voyais dans ses yeux un regard étranger,
L'écho de ses soupirs pour un autre changer.
Oh, masque des mensonges, danseuse sur le fil,
Ton cœur vagabonde, ton amour est futile,
Tu joues avec le feu, tu brûles nos souvenirs,
Infidèle aux adieux que tu n'oses pas dire.
Elle rentrait tard la nuit, le parfum sur sa peau,
Des histoires mal bâties qui sonnaient bien trop faux,
Je voulais croire encore à nos rêves dorés,
Mais son cœur égaré s'en allait à jamais.
J'ai suivi ses traces derrière le rivage,
Où elle se donnait sans aucun ombrage,
Ses rires résonnaient pour un autre que moi,
Ses lèvres chantaient des "je t'aime" sans foi.
Oh, masque des mensonges, danseuse sur le fil,
Ton cœur vagabonde, ton amour est futile,
Tu joues avec le feu, tu brûles nos souvenirs,
Infidèle aux adieux que tu n'oses pas dire.
J'ai brisé les chaînes de ses mots sans valeur,
Laissant derrière moi les éclats de mon cœur,
Elle restera une ombre, un vent sans racine,
Et mon aube se teinte de ses toiles assassines.
Oh, masque des mensonges, danseuse sur le fil,
Ton cœur vagabonde, ton amour est futile,
Tu joues avec le feu, tu brûles nos souvenirs,
Infidèle aux adieux que tu n'oses pas dire.
Oh, masque des mensonges, danseuse sur le fil,
Ton cœur vagabonde, ton amour est futile,
Tu joues avec le feu, tu brûles nos souvenirs,
Infidèle aux adieux que tu n'oses pas dire.
Oh, masque des mensonges, danseuse sur le fil,
Ton cœur vagabonde, ton amour est futile,
Tu joues avec le feu, tu brûles nos souvenirs,
Infidèle aux adieux que tu n'oses pas dire.