Au gibet s’accroche une fée
Je me défais de mes effets
Je file dans l’allée fêlée
Pour défiler sous les fouets
Me coucher encore à ses pieds
Et demain sur ma peau zébrée
S’écriront ses mots effilés
La femme que j’aime se tait
Même suspendue aux gibets
Zélée des amours délaissées
Mêlée de mémoire fanée...
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